Le procès de Jean-Claude Lenoir : Différence entre versions

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(1ère étape : Mercredi 25 février 2009)
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C'est '''un procès politique''' : le pouvoir veut faire taire ceux qui sortent du droit chemin, le pouvoir veut étouffer la contestation dans l'oeuf, en dissuadant tous ceux qui s'opposent à sa politique de trop se faire remarquer. Il y a par exemple, parmi les soutiens à Jean-Claude, une personne en cours de jugement pour avoir fauché un champ de culture OGM.
 
C'est '''un procès politique''' : le pouvoir veut faire taire ceux qui sortent du droit chemin, le pouvoir veut étouffer la contestation dans l'oeuf, en dissuadant tous ceux qui s'opposent à sa politique de trop se faire remarquer. Il y a par exemple, parmi les soutiens à Jean-Claude, une personne en cours de jugement pour avoir fauché un champ de culture OGM.
  
Dès leur arrivée au tribunal, Jean-Claude et son avocat sont informés que la police, qui, dans l'affaire est le plaignant (Jean-Claude est accusé d'outrage à agent, voir [[Février 2009 : avec Jean-Claude Lenoir]]) , n'est pas représentée  : l'avocat des  policiers est malade. On leur fait alors la proposition de ''scinder le procès'' en deux parties :
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Dès leur arrivée au tribunal, Jean-Claude et son avocat sont informés que la police, qui dans l'affaire est le plaignant (Jean-Claude est accusé d'outrage à agent, voir [[Février 2009 : avec Jean-Claude Lenoir]]) , n'est pas représentée  : l'avocat des  policiers est malade. On leur fait alors la proposition de ''scinder le procès'' en deux parties :
 
* aujourd'hui 25 février, pour entériner l'acte d'accusation (en quelque sorte on propose à Jean-Claude de ''plaider coupable'').
 
* aujourd'hui 25 février, pour entériner l'acte d'accusation (en quelque sorte on propose à Jean-Claude de ''plaider coupable'').
 
* dans un mois, pour régler la question des dommages et intérêts à verser aux policiers.
 
* dans un mois, pour régler la question des dommages et intérêts à verser aux policiers.
Une telle proposition vise ni plus ni moins à officialiser une soit-disant culpabilité de Jean-Claude, sans même tenir de procès. '''Elle est belle la justice, quand elle sert les basses oeuvres du pouvoir politique !'''
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Une telle proposition vise ni plus ni moins à officialiser une soi-disant culpabilité de Jean-Claude, sans même tenir de procès. '''Elle est belle la justice, quand elle sert les basses oeuvres du pouvoir politique !'''
  
 
Jean-Claude et son avocat ont dû batailler pour refuser cette mascarade, et le procès est donc reporté au mercredi 18 mars, à Boulogne, à 8h30. '''On sera encore avec toi, Jean-Claude'''.
 
Jean-Claude et son avocat ont dû batailler pour refuser cette mascarade, et le procès est donc reporté au mercredi 18 mars, à Boulogne, à 8h30. '''On sera encore avec toi, Jean-Claude'''.
  
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Version du 25 février 2009 à 19:35

Le contexte : Février 2009 : avec Jean-Claude Lenoir

1ère étape : Mercredi 25 février 2009

Ça se passe à 8h30, au tribunal de Boulogne sur mer. Nous sommes une cinquantaine à avoir fait le déplacement pour soutenir Jean-Claude.

C'est un procès politique : le pouvoir veut faire taire ceux qui sortent du droit chemin, le pouvoir veut étouffer la contestation dans l'oeuf, en dissuadant tous ceux qui s'opposent à sa politique de trop se faire remarquer. Il y a par exemple, parmi les soutiens à Jean-Claude, une personne en cours de jugement pour avoir fauché un champ de culture OGM.

Dès leur arrivée au tribunal, Jean-Claude et son avocat sont informés que la police, qui dans l'affaire est le plaignant (Jean-Claude est accusé d'outrage à agent, voir Février 2009 : avec Jean-Claude Lenoir) , n'est pas représentée  : l'avocat des policiers est malade. On leur fait alors la proposition de scinder le procès en deux parties :

  • aujourd'hui 25 février, pour entériner l'acte d'accusation (en quelque sorte on propose à Jean-Claude de plaider coupable).
  • dans un mois, pour régler la question des dommages et intérêts à verser aux policiers.

Une telle proposition vise ni plus ni moins à officialiser une soi-disant culpabilité de Jean-Claude, sans même tenir de procès. Elle est belle la justice, quand elle sert les basses oeuvres du pouvoir politique !

Jean-Claude et son avocat ont dû batailler pour refuser cette mascarade, et le procès est donc reporté au mercredi 18 mars, à Boulogne, à 8h30. On sera encore avec toi, Jean-Claude.

2ème étape : Mercredi 18 mars 2009